Walygator inaugure une nouvelle zone sur le thème du Far West en 2019 !

À l’été 2019, Walygator Grand Est a inauguré une toute nouvelle zone thématique : le Far West. Une transformation qui redonne vie à un espace autrefois emblématique mais tombé en désuétude : l’ancien Village des Schtroumpfs, vestige d’une époque révolue où le parc exploitait cette licence.

Nouvelle ambiance Far West à Walygator avec bâtiments en bois et décor immersif, ouverts à l’été 2019.

Une rethématisation attendue… et nécessaire

Après plus de 30 ans d’existence, la zone bleue avait bien besoin d’un coup de frais. Les structures étaient vieillissantes, parfois à l’abandon. La nouvelle direction a pris le pari de tout repenser, et a confié le projet à la société Joravision, spécialiste de la thématisation dans les parcs de loisirs.

Résultat : quelques nouvelles façades et une ambiance western qui redonnent un vrai cachet à cette partie du parc.

Un nouveau souffle autour de Sheriff Academy et du Saloon

Cette zone Far West intègre désormais l’attraction déjà existante Sheriff Academy, ainsi que le restaurant self-service Saloon. Deux éléments bien en place qui retrouvent enfin un cadre cohérent, grâce à cette nouvelle ambiance immersive. On sent une vraie volonté de la part du parc de remettre de l’ordre dans sa thématique.

Nouvelle ambiance Far West à Walygator avec bâtiments en bois et décor immersif, ouverts à l’été 2019.
Décors western et nouvelles façades réalisés par Joravision dans la zone Far West du parc Walygator.

Un petit pas pour Walygator, un grand pas vers la relance ?

Derrière cette nouveauté se cache une ambition plus grande : faire renaître Walygator après des années marquées par les changements de direction et un manque d’investissements. Cette zone n’est peut-être qu’un début, mais elle montre que le parc est capable de belles choses lorsqu’il prend le temps de soigner ses espaces.

Un avenir à construire

Si Walygator Grand Est poursuit sur cette voie, en multipliant les réhabilitations et les efforts de thématisation, il pourrait bien regagner une partie de son attractivité perdue. L’envie est là. Le talent aussi. Ne reste plus qu’à espérer que le budget suive, car le potentiel du parc est réel et n’attend qu’à être pleinement exploité.

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